Depuis quelques semaines, la ville de Paris est en émoi suite à des meurtres en série, visiblement causés par des vampires. Ceux qui ont pu être examinés ont permis de découvrir que quelque chose les rendait fou au point de voir leurs instincts primitifs se réveiller, les poussant ainsi à passer à l'acte. Maladie? Désir de vengeance? Nul ne sait. A moins que…
Paris, 1884
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corps(e) et cerf(eau) + magdalena

Magdalena Priest
Magdalena Priest
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corps(e) et cerf(eau) + magdalena 427022840fa9396cdc7cab815607afd0
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50
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18/10/2022
Magdalena Priest;; NON-EUCLIDIAN EMOTIONS AND APPEASEMENT
Apothicaireirlandaise/allemande
Personnalité
— qu’est-ce qu’un nom, si ce n’est qu’une pierre tombale ?
on t'a nommé Magdalen(a)
et depuis toujours
tu es
sainte

tu as faim.

tu crèves de faim.

nouveau-né, tes membres tremblants
désespérés
guettant quelque chose
à te mettre
sous la dent.

rien n’est jamais très joli avec toi. rien n’est jamais très stable quand tu es là. tes aigreurs brûlent et pourrissent, ta peau s’écaille et laisse des plaies béantes ((les oiseaux peuvent y picorer)). ta hargne détruit et arrache les muqueuses, ton corps enroulé dans la discorde la plus absolue.

chaotique, tes ailes brûlent à chacun de tes pas.
névralgique, ton halo brille, incandescent et fragile.

une certaine amertume bouillonne dans ton âme. tu donnes trop vite l'urgence d'agripper tes propres côtes des deux mains pour fracturer le thoracique, exposer à cœur ouvert
saigner de qui l'on est, auprès de toi tu te sens d'être sans limites. visage arrogant, visage aux traits raffinés, tu brilles sous les projecteurs ((ou les flammes de l’enfer)) jusqu’à ce que ton énergie soit vidée, à sec, showtime terminé.
derrière la scène, tu n’es plus que griffures saignant dans le cou et les pommettes, même sourire, il reste plaqué sur ton visage
tes doigts tiennent tes joues
jusqu'à s'accrocher fermement, ne rien lâcher, jusqu'à les faire céder, jusqu'à les faire plier, fléchir.

jusqu'à les briser.

tu as tellement faim que tu mangerais un ange.
ton repas pourrait se constituer d’un de tes bras, magdalena, toi la sainte voix, la peste des étoiles
tes os, tu n’hésites pas à les briser
tes paroles, tu n’hésites pas à les crier
si tes pas sont d’argent, au moins
ta parole est d’or.

tu as faim.
et tu te délecterais bien de l’amour.
aveuglée, fragile et demeurée, tu pries pour qu’on t’aime
a b s o l u m e n t
tu pourrais y laisser un doigt, ou deux, tellement tu t’accrocherais à l’idée qu’on puisse enfin t’aimer.
tu aimes trop fort, trop grand
tu aimes avec des églises entières
pourtant, le problème est,
que tu chasses des mirages
oasis où l’eau ne se change pas en vin.
en vain
tu attrapes des poignets, tu caresses des cheveux, tu meurs d’envie qu’on te cajole, qu’on te murmure des mots doux. mais tu ne prends jamais le désir d’autrui, en compte. ils s’éloignent de toi. ils te fuient. tu les retiens et ils te crachent au visage.
tu aimes mal, c’est de l’adoration
tu crèves d’envie et d’obsession
((autant
essayer d’atteindre la lune
puisqu’il est impossible d’être aimé))

tu entasses tes larmes dans ton petit coeur, fermé à clef, avant ce que tu n’imploses en un million de fragments d’étoiles. tu te déchaînes, tornade brûlante, dégâts massifs : tu te coupes les paumes, tu t’éclates le front. tu mords, tu déchiquètes, tu déchires. jusqu’à ce que le rouge aille bien avec tes cheveux. jusqu’à ce qu’un semblant de sourire satisfait trône sur ton visage.

mais tu as toujours si faim
aujourd’hui tu mangeras les plaintes de demain

EN DEDANS — vicieuse ; opportuniste ; ambitieuse ; cynique ; faussement souriante ; nonchalante ; patiente ; sincère ; égoïste ; obsessionnelle ; caustique ; fait du mal et s'en délecte ; calme ; obstinée ; habile ; sarcastique ; toxique ; théâtrale ; perfide ; control freak ; dépendante ; charismatique ; boulimique d'amour ; manipulatrice


vingt-sept ans
vampire
makima
chainsawman

cheveux rouge toujours attachésyeux tirant sur un jaune ichor terrifiantses membres craquent en toute circonstancepeau pâle, parsemée de tâches de rousseursourire plaqué, fauxongles longs et pointustoujours élégantecrocs visibles, acérésoreilles légèrement pointuespossède un colobome dans l’oeil droit, ce qui rend la forme vampirique de ceux-ci assez étrange


Il était une fois,...

tu as toujours aimé le goût du sang.

la première fois que tu y as goutté, c'est en mordant tes propres veines du poignet.
et même s'il s'agissait de ton propre sang,
tu étais aux anges en l'avalant goulument.

mais Mère était là pour te gronder.
— mon petit démon, tu ne gagneras rien à sucer ta propre hémoglobine. je ne veux plus jamais voir ton poignet près de tes crocs. c'est compris ?

hochant la tête, tu éloignas ton bras de ton visage. il est sain d'écouter Mère, qui est à la tête de ton clan.
Mère est sage, tout comme l'était Athéna.
bons sont les mots qui traversent sa bouche,
doux sont les caresses qui mélangent tes cheveux.
Mère est essentielle. Mère est tout.

c’est elle qui t’a aidé à supporter ton pouvoir,
à soigner les nécroses sur ta peau.

cependant, toi, un démon ?
non, tu avais des projets bien plus grands, plus saints, que l'enfer souffreteux, les pics et les lances.

ton magnum opus, ton mot final, était de devenir un émissaire de Dieu. une Divine. voir tous les yeux tournés vers toi, alors que ton halo illumine la nuit noire et que ton sang devient ichor. sentir tes os se cristalliser lentement, devenir aussi légère qu'une plume.
tu voulais marquer les esprits.
tu voulais choquer la plèbe.
tu voulais être la Perséphone de cette ère.

il y avait encore du sang sous tes ongles.
la douleur traverse ton système nerveux,
tu pourrais sans doute aucun,
briser l’échine d’un lapin.

tu passais souvent le plus clair de tes journées à l’orée de la forêt, à chercher les animaux morts pour te délecter du breuvage rouge en dessous de leurs plumes. tu n’avais pas bien peur des risques d’infection, tu étais comme happée par l’odeur provenant de leurs cadavres. tu revenais en claudiquant, douleur parsemée sous ta peau, cherchant toujours à se repaître, à nécroser quelqu’un. Mère te grondait souvent par rapport aux animaux morts, cependant, elle ne pouvait pas te suivre à chaque fois que tu mettais un pied dehors.
leurs corps encore chauds
te donnaient l’irrésistible envie de les croquer.

Père, lui, travaillait avec les hommes, dans un cabinet de dentiste dans Paris même.
parfois, parce qu’il n’y avait pas vraiment le choix, tu venais à son cabinet,
et récupérais les dents arrachées.
d’abord, tu avais eu l’idée d’en faire un collier, mais tu te ravisas finalement.
tes crocs ne sont pas assez forts pour y creuser un trou.

((tu les as gardé, dans une petite boîte à musique,
un peu comme un trophée, pourvu que tu t’achètes une place au paradis !))

à l’époque, ta famille était bien plus grande que Père et Mère réunis. Père, pendant des jours et des jours d’absence, ne suivait pas les traditions du clan du Cercle des Âmes, se contentait de prier pour le salut de tous et toutes. Mère, puisque les femmes présidaient le clan et leurs activités, était devenue Prêtresse du Culte, et en était fière. pour que son image reste immaculée, elle était souvent derrière toi pour que tu te comportes correctement. une des Anciennes encore en vie, Virgilia, lui répétait sans cesse qu’il fallait que le cap de l’adolescence passe. son ton se voulait rassurant. Mère soupirait.
on ne te changera pas.
Le Cercle suivait les fêtes des solstices et des équinoxes. de nombreux rites glanés çà et là pendant des années d’existence. les fêtes se voulaient grandioses, immenses, toujours pleines de danse qui engourdit les jambes et fait rire aux éclats. ces traditions régnaient depuis bien des années, comme Samhain, ou Yule. des moments proche des dieux et déesses, leur offrant des bougies et des offrandes. puis une goutte de sang, pour marquer les esprits qui épient. tu te rappelles des danses endiablées, des rires, des coupes de vin et des autels pleins de nourriture que personne ne touchera. tu appréciais l’ambiance, et prenait le temps d’apprendre les remèdes de l’apothicaire, tante Béatrice. c’était un domaine qui te passionnait, autant les remèdes miracles que les poisons mortels. tu voulais t’exercer dans chacun, devenir un atout, pas seulement pour le Cercle, mais pour être puissante. avoir de l’or dans les mains. l’envie de créer un empire germait en toi. devenir un mythe, intouchable, flottant au-dessus de la plèbe, au-delà de la vie de simple vampire de ville. tu avais besoin de plus, plus d’amour, plus de haine, plus de corps, plus de peine. tu avales les mots goulument, virgule par virgule, allant presque jusqu’à t’étouffer. tu veux la gloire, les gens qui se pâment à tes pieds, que ton sang devienne ichor et que tes iris soient déifiés.

tu veux faire trembler la terre comme jamais aucun volcan n’en eut l’audace.
tu resteras dans les mémoires.

fut un temps, le Cercle dansait sans relâche, et ne faisait pas attention au danger rôdant dans les sous-bois. beaucoup de chasseurs rêvaient d’annihiler ce clan qui tenait debout depuis des années, un peu loin de Paris, dans la sainte mère nature. et c’est Père qui, malencontreusement, leur a vendu leur localisation, un petit village comme celui de Salem. reprenant son souffle, il réalisa bien trop tard qu’il s’agissait de chasseurs déguisés, et non de véritables vampires. l’attaque fut surprenante. aucun membre du Cercle n’était prêt à combattre. le sang gicla. les têtes tombèrent. les suppliques retentissèrent. on raconte que même les arbres pleuraient. toi, encore un minuscule vampire, tu t’étais recroquevillée dans le creux d’un arbre vieux de maintes années. et tu regardas, le souffle coupé, le massacre de ce qui était ta famille.
tu ne verrais plus jamais Père, qui se malmenait dans le désespoir et les remords.
mais c’était déjà bien trop tard pour s’en mordre les doigts.
Instinctivement, tu lui en as toujours voulu.
pour ce feu de joie des chasseurs.

tu aurais peut-être dû lui ramener la tête de Mère sur un pic.

d'ailleurs, pourquoi ne mettriez-vous pas des chasseurs au bûcher ?
ça en ferait rire plus d’un.

quelques mois plus tard, tu te retrouvas seule, dans Paris même, livrée à toi-même.
tu te rappelais de quelques phrases de Mère, où tu lui promettais de te conduire comme un véritable humain en dehors du Cercle.
tu te débrouilles assez bien, pour masquer les apparences.
puis, tu réussis à décrocher un premier job de distributrice de journaux.
dans la même année, le soir, tu creusais les dépouilles de vampires sauvagement tués pour profaner leurs corps et retirer leurs yeux. les yeux vampiriques sont des trésors, remplis d’une magie qui leur confère des capacités hors norme. tu ne pouvais les laisser pourrir avec le reste. ça a beaucoup trop de valeur. alors tu les collectionnais, dans des bocaux, dans ta petite maisonnée.
une véritable mine d’or.

c’était une mauvaise décision.
et tu les enchaînais.

tu commenças un nouveau travail en tant qu’apothicaire. dans ton petit cabanon, tu faisais mijoter des mixtures que tu vendais pour quelques sous. mais il n’y avait pas que ça. en parallèle, dans un marché beaucoup plus sombre, tu faisais en sorte de créer des poisons et de les revendre à un prix d’or. tu aurais pu vendre les yeux que tu gardais dans l’obscurité de ta chambre, mais tu ne fis rien de plus. tu entamas des relations dans le réseau même que tu avais mis en place de toutes pièces.
et en contrepartie, tu pouvais recevoir de l’opium.
de l’or pour ceux qui savent.
et ça te donnait l’envie d’avoir une main sur l’entièreté des bas-fonds de Paris. le monde était si grand : tu voulais tout savoir, tout voir, tout vivre. tu es sur le point de franchir la porte du nouveau monde. et tu regarderas d’en haut le bas peuple, triomphante. yeux cherchant l’or de la gloire.
quand tu y penses, tu as toujours été destinée à surplomber le monde.
titan d’obsidienne et de verre.
sombre, mais réfléchissant toujours la lumière.

Mère aurait sûrement tout fait en sorte pour que tu ne touches plus à l’opium.
mais ça te faisait te sentir si bien, comment pouvais-tu lâcher l’or que tu avais dans les mains ?
c’est le jour où tu t’es évanouie sur le bord de la Seine qu’on t’a ramené contre ton gré à Sainte Anne.
le soleil brillait ce jour là, et tu grinçais des dents. si tu n’avais pas été mieux éduquée, tu aurais sûrement mordu le personnel.
mais tu te contentas de prier, mains jointes, imaginant Dieu et ses requêtes.
et souvent, on te piquait dans les bras.

on trouve toujours de magnifiques veines le long de tes bras.

ta divinité ne faisait que grandir. tes yeux brillaient d’une gloire prochaine.
tu te sentais comme un dieu, pleine d’une adrénaline viscérale, si propre de l’olympe et pourtant toujours clouée au sol. un icare sans ailes. incapable de voler, et pourtant plein de rêves du grand saut vers le plus flamboyant des astres.

mais les jours devinrent des semaines. et des semaines des mois.
et tu commenças à voir la véritable apparence des anges.
halo lumineux, doré. des crocs acérés.
des ailes faites de chair, épinglées.
toujours à moitié calcinés.

tu avais l’impression de te perdre.
il n’y avait personne pour te sauver,
après tout, tu as plongé, et comme à ton habitude,
tu ne pouvais t’empêcher de sombrer, jusque dans les rivières du styx, manquant de peu le bateau de charon.

âme vorace,
envie obsessionnelle de caresser le cerbère,
de prendre le virage le plus serré de l’outre monde.

‘Maman, je n’me sens vivante,
uniquement quand je frôle l’au-delà.
Maman, je vis dans un monde où même Mère Nature me plante,
ma naissance est un poids, qu’ai-je fait pour mériter cela ?
je n’ai fait qu’exister,
mais,
mes tripes, elles,
le savent :
frôler dieu est ma destinée.’

((les corbeaux se marrent
autour de verres de porto))

alors un jour, dans La Chapelle,
tu ouvris par la puissance de tes crocs tes poignets,
et tu les maintenais vers le haut fait de vitraux.
le liquide coulait, magnifiquement,
et tu te réveillas le lendemain, sachant que tu avais fait tes preuves à Dieu.
tu seras prête à n’importe quoi.
décimer les hommes, les chasseurs. aduler les femmes, la plupart des vampires.

tu restas encore quelques semaines à Sainte Anne. tu faisais tes dernières heures de thérapie — toujours en cachant ton statut — et tu te retrouvais dans la salle à manger en compagnie de porcs qui ne respiraient plus tellement qu’ils mangeaient sans sourciller. évidemment, tu ne pus t’empêcher, et tu embrochas une de leurs mains avec ta fourchette et une force étonnante.
ils avaient tellement hâte de te lâcher dehors qu’ils ne firent aucun commentaire.

te voilà libre comme l’air,
dans une ville que tu ne connaissais guère.

comme les anges de chair scandent, ‘que le vampire soit !’

FUNFACTS — adore écouter les coeurs battre + ne pouvait s’empêcher de mordre dans des cadavres d’animaux + étrangement souriante, ça en devient dérangeant + très fière d’être un vampire + boulimique d’amour, de haine, de tout + a déjà essayé de creuser des tombes pour en récupérer les yeux + très souvent à l’église + fait une fixette sur les yeux vampiriques, ça la fascine + perd la tête + a une collection de dents + très câline, tactile + adepte de taxidermie + aide le traffic d’opium et en consomme elle-même + utilise un fume-cigarette + ne se rend pas bien compte des dégâts qu’elle fait supporter à son propre corps + cicatrices de l’épaule jusqu’aux paumes + recherche le silence absolu, celui qui te soulage de tous maux + crocs très visibles + aime mordre + sait coudre, mais fini souvent par dissocier et à planter ses aiguilles dans la peau de sa main + a été se faire soigner à Sainte Anne mais vous l’aurez deviné : c’est un échec + n’utilise pas d’arme, ses mains sont déjà source de douleur +




Qui se cache derrière l'écran ?
alors coucou à tous/toutes ! je suis mathilde, je rp depuis assez longtemps mais là je reprends vivement après une longue, très longue pause ! j'espère que vous aimerez magdalena ! sinon pour vous parler un peu de moi euh je suis extrêmement anxieuse et timide donc c'est toujours une épreuve la validation itou j'en ai très peur mais je m'y fais <3

math21 ans°˖✧◝sternchen◜✧˖°#2283

Magdalena Priest

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Jeu 20 Oct - 20:02
Antonne Blancherose
Comtesse Albinos
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120
Date d'inscription :
25/09/2022
Coucou à toi ! De toute façon, tu le vois marqué en gros mais t'es VALIDÉE ! On a adoré ta plume, ton personnage est génial, honnêtement (et je veux un RP avec mais j'ai pas le droit de le dire). Tu reprends après une très très très longue pause ? Ça ne se ressent pas du tout ! Je t'invite donc à faire ta FT (toujours de préférence si tu veux te battre quoi (www)) et ton journal de bord pour qu'on puisse suivre tes relations et aventures (www) ! :3 Encore toutes nos félicitations !
 
Fiche validée !
Antonne Blancherose

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